Era morina et la langue de ses rêêêêêves-
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Et dooonc ! Un WIP de, justement... Succube. Comme le titre. Mium !
GRAND YEUX, langueeeeeeeuh et boobs cachés mais boobs quand même. Je les aime moi, même s'ils perturbent le pedobisounours pied en chef. Haha, c'est mieux les petites filles, hein ;p ?
Et pis pis pis... ça :
Mironai Yokasgi était une grande guerrière de ma planète, Bwahazan'z (huuuu le nom de crotte).
D'origine terrienne, elle était battue par sa mère. Sa (fausse) tante, commandante bwazienne, l'a ramené avec elle sur bwz (raccourci, hein, c'chiant à écrire) pour la former et la faire devenir une graaaaaande guerrière. Elle a atteint le niveau 6, le plus haut niveau, elle se balade à travers les pays en tant que guerrière solitaire. Et ce sont les seuls à pouvoir modifier leur uniforme, alors celui qu'elle porte n'est pas l'original. Son bras droit craint... Elle a aussi fondé une école de combat, l'école Yokasgi, la plus réputée de tout Bwz, stricte comme une prison, avec un taux de réussite de 99.9% et des professeurs totalement dingues. Et chère. Mais ces sous reviennent à l'état qui aide le peuple et qui donne des salaires de misères à ses hommes politiques (mais il vivent bien, vous en faites pas pour eux) , alors hein. Ancêtre d'Era ! (vous avez vu, y a une botte, elle est plus haute que l'autre, mais c'est voulu, huhuhu. ET GENRE TU TE BATS EN TALONS COMPENSÉS, MIRO'. HA!)
Tombe petiote, tooooooombe !
Et un cadeau pour petit lapin que je n'aime comme tous mes amis ( et même que je kiff trop sa voix au micro, c'est la classe de lui parler mamamamamamaaaah [ah oui, je craque trop sur les voix huhuhu] ) :
Ombre -
Je me noie dans l’oppression et la souffrance sombre de ce monde. Les lueurs bleues qui me parviennent du fond de l'eau naviguent en un ballet d'encre. Mes amis suivez-moi, je veux découvrir un nouveau monde, découvrir le ciel pâle au dessus de nos têtes. Alors que mon corps tombe en sa direction, je distingue des formes claires. Ça y est, j'ai touché le fond. C'est une sensation inconnue qui me traverse peu à peu. J'ai une histoire, une offrande enfermée, je veux offrir mon monde dans une bouteille de verre. Je ne sais si quelqu'un me répondra, si quelque chose comprendra cet univers qu'est le mien. Je crois distinguer une main qui se tend vers moi. Dois-je hésiter, mes amis ? Je crois que les sirènes reviennent, et j'ai peur. Ma main a traversé ce mur, je la vois encore. Elle est pâle, elle est claire, un blanc éclatant. Elle est différente, et ce que je ressens l'est aussi. La forme l'a finalement saisit, ma bouteille. Au fond du trouble je distingue un sourire.
C'est ce sourire, ce sourire honnête au centre du ciel. Celui-là, je ne saurais jamais le faire.
Trop tard, les sirènes sont là. Je suis arrachée à l'encre, emportée au centre de mon monde, peut-être ne pourrais-je jamais recevoir la réponse que j'attend. Peut-être devrais-je rester au fond de ce monde jusqu'à la fin. La fin. Mes amis, enfuyez-vous. Mes amis, je ne veux pas souffrir, mes amis... faites-moi rencontrer ce monde.
Faites-moi rencontrer le ciel et toutes ces sensations.
Faites oublier la douleur offerte par les sirènes.
Sous les barreaux de ma prison de glace, je les entends encore chuchoter d'une voix perfide :
" N'approche pas les ombres, n'approche jamais les ombres d'un monde du dessus "
Mes amis, je n'ai pas votre réponse, j'ai perdu le temps et les larmes, je ne sais ce que je suis devenue dans cette prison maintenant trop étroite. Mes amis, j'avais raison, je suis seule jusqu'à la fin. La fin.
Je me suis enfin endormie. Je vois dans la clarté étouffante la bouteille ouverte, la bouteille de laquelle s'échappe la fumée sombre de mon effrayant monde.
Et je vois aussi la forme, la silhouette blanche et fine qui approche timidement la poussière s'échappant peu à peu.
Ça y est, j'ai vu le ciel. Enfin je pars moi aussi en poussière.
Enfin je souris, et de nouveau, une larme coule le long de mes joues.
Chtistre, nop' ?
Et comme j'ai rien d'autre à proposer ben... ben... Au revoir... BWAHA !
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